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    Affaire DG de l’ANNAC : Sinaly Silué 65 ans révolus et toujours aux affaires…
    La loi c’est la Loi: soit on l’applique soit on la viole.


    Pendant que des milliers de jeunes cadres sortis des grandes écoles et universités font le triste constat de l’échec de la politique de l’emploi du gouvernement Ouattara, il est regrettable de constater que seulement avec le respect et l’application des textes, une ébauche de solution à cette crise de l’emploi que vit le pays, serait trouvée. En d’autres termes si le régime Ouattara faisait l’effort de respecter les textes qu’il établit, cela apporterait déjà des solutions à certains problèmes, dont celui de l’emploi…Malheureusement il existe un fossé énorme entre le fait d’écrire des textes et celui de les appliquer….
    En effet, comme Sinaly Silué, à L’ANAC (Autorité Nationale de l’Aviation Civile), combien sont-ils ses sexagénaires qui, en dépit du décret n° 2012-625 du 06 juillet 2012 portant fixation de la limite d'âge statutaire de départ à la retraite des Personnels Civils, continuent d’exercer des fonctions et de jouir, ainsi donc en véritable hors la loi, des prestations liées à la profession, que pourtant peuvent bien assurer les jeunes cadres...

     

    Oume Mimba

     

     

     


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  •  #PCA

    S'ils traitent ainsi le bois sec, quand serra-t-il du bois frais?

    Quand dans les années 99, alors jeune Etudiant et fils de pauvre, nous rejoignions le RDR, c'était dans le secret espoir d'obtenir le changement, afin qu'enfant de "famille sans nom" dans ce pays, nous ayons l'opportunité d'avoir les mêmes enseignements, les mêmes formations, et les mêmes chances de réussite que les "UNS". 
    Et malheureusement, le temps a passé, les grèves estudiantines et les années blanches se sont succédé. Résultat nous avons abandonné nos rêves personnels, mais avons toujours gardé l'espoir qu'avec le changement, nos enfants pouvaient vivre ces rêves…Ainsi, avons-nous projeté nos rêves et nos ambitions non accomplis sur nos progénitures…

    Et puis, en 2010, survint ce changement. 
    Mais que grande fut notre désillusion, que de constaté qu'avec les autres au moins on pouvait du jour au lendemain changer de statut, seulement qu'avec eux, le mérite n'était pas toujours une priorité…
    Récemment, une connaissance m'apprenait que ses enfants étaient tous à l'étranger pour les études, parce que lui aussi, entretient ce secret espoir que comme Leurs enfants, les siens reviendront un jour, COMMANDER nos enfants.

    Mais à quel prix ou/et quel est ce réseau qui leur permet de tous faire partir leurs enfants étudier ailleurs, pendant qu'ils sacrifient les nôtres ici….

    Cette affaire du jeune Soro Dofoungotien Moussa mérite d'être suivi, pour mieux nous éclairer sur ces pratiques qui du reste ne datent pas d'aujourd'hui, par lesquelles, des bourses d'étude accordées par les institutions et les organisations étrangères, dans le cadre de la coopération, qui devraient être attribuées aux plus méritants sont purement et simplement détournées.

     

    Mimba Ghislain 


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    Quand on a vécu pendant un certain temps dans un milieu donné, et qu'on a encore la force d'arracher le sourie aux autres et de donner du bonheur à autrui, c'est qu'on a tout compris de la vie. Façonner la vie et non se laisser façonner par les épreuves de la vie.

     

    Mimba Ghislain


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    Révision de la Constitution ivoirienne :les membres du comité d'experts 


    -1 Monsieur OURAGA Obou Boniface (Professeur agrégé de Droit Public et de Science Politique, Président du Comité d’Experts)
    -2 Monsieur AKA Joseph (Docteur en Droit Public) 
    -3 Monsieur CISSE Ibrahim Bacongo (Docteur en Droit Privé, Conseiller Spécial à la Présidence de la République, chargé des Affaires Juridiques et Institutionnelles, Commissaire du Président de la République)
    -4 Monsieur DIOMANDE Aboubacar Sidiki (Docteur en Droit Public) -5 Monsieur KAMBILE Sansan (Magistrat, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, Commissaire du Président de la République) -6 Monsieur KOBO Pierre-Claver (Professeur agrégé de Droit Public et de Science Politique)
    -7 Madame KOFFI Annick (Docteur en Droit Public)
    -8 Madame KONE Assata épouse SILUE (Docteur en Droit Privé) -9 Monsieur MELEDJE DJEDJRO (Professeur agrégé des Facultés de Droit, Professeur titulaire de Droit Public et de Science Politique) -10 Madame TANOH Yolande (Professeur agrégé de Droit Privé) 

    Que peut-on attendre d'un tel Comité? Nous, n'espérons et n'en attendons rien…
    D'ailleurs, nous récusons ce comité, et même tout le processus que nous jugeons inopportun…Pour nous, il est claire que la Réconciliation doit précéder la rédaction de ce texte pour qu'il soit consensuel, et reçoive l'assentiment de tous….C'est donc peu dire, d'affirmer que les résultats des travaux qui découlerons de ce comité, n'engageront qu'une partie des Ivoiriens …c'est pourquoi nous disons Réconciliation avant Révision de la constitution, Réconciliation avant Référendum

    http://www.afrique-sur7.fr/14361/ cote-divoire-cisse-bacongo-rdr-foule-au-p ied-la-constitution-et-positionne-ado/

     

    Mimba Ghislain


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    Ce sont les mêmes qui dansent, les mêmes qui tapent, et encore les mêmes qui applaudissent. Assourdis par la clameur de leurs vacarmes, éblouis par l'épais brouillard qui enveloppe la scène, ils ne peuvent entendre nos plaintes, ne veulent comprendre nos complaintes, se refusent de nous voire geindre. Et pourtant nous ne faisons que les prévenir…Venez voir, amis, ca sent le BALAI CITOYEN par ici.

    Mimba Ghislain


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